Saint-Etienne : incarcération du Guinéen de 17 ans qui a plongé dans le coma un jeune ivoirien
Publié : 10 juin 2018 à 10h26 par Anthony Verpillon
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Un Guinéen de 17 ans a été mis en examen et écroué samedi soir pour avoir plongé dans le coma un Ivoirien du même âge d’un violent coup de poing porté à la tête, jeudi soir, dans le centre de Saint-Etienne.
L’auteur du coup de poing a été mis en examen pour violence volontaire aggravée par trois circonstances, avant d’être placé en détention à l’Etablissement pénitentiaire pour mineurs (EPM) de Meyzieux (Rhône).
Le coup reçu a été porté avec préméditation, à l’aide d’un objet métallique placé dans le creux de main (ce qui a accru sa puissance) et à l’intérieur du foyer éducatif où résident les deux protagonistes, a déclaré le parquet stéphanois.
Jeudi soir, peu après 19 heures, avant de perdre connaissance, la victime, qui depuis est plongée dans le coma et dont le pronostique vital est engagé, a eu le temps d’indiquer le prénom de son agresseur aux policiers appelés sur place, rue Élisée-Reclus.
Une semaine auparavant, le jeune guinéen avait été agressé et avait déposé plainte contre celui qui à son tour est devenu la victime.
Ces bagarres sur fond d’alcool ont opposé deux jeunes réfugiés présentés comme « cassés par la vie », qui ont traversé une partie de l’Afrique puis la Méditerranée avant de trouver refuge en France.
Trois circonstances aggravantes retenues
L’auteur du coup de poing a été mis en examen pour violence volontaire aggravée par trois circonstances, avant d’être placé en détention à l’Etablissement pénitentiaire pour mineurs (EPM) de Meyzieux (Rhône).
Le coup reçu a été porté avec préméditation, à l’aide d’un objet métallique placé dans le creux de main (ce qui a accru sa puissance) et à l’intérieur du foyer éducatif où résident les deux protagonistes, a déclaré le parquet stéphanois.
Jeudi soir, peu après 19 heures, avant de perdre connaissance, la victime, qui depuis est plongée dans le coma et dont le pronostique vital est engagé, a eu le temps d’indiquer le prénom de son agresseur aux policiers appelés sur place, rue Élisée-Reclus.
Une semaine auparavant, le jeune guinéen avait été agressé et avait déposé plainte contre celui qui à son tour est devenu la victime.
Ces bagarres sur fond d’alcool ont opposé deux jeunes réfugiés présentés comme « cassés par la vie », qui ont traversé une partie de l’Afrique puis la Méditerranée avant de trouver refuge en France.
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